
J'en avais parlé
ici, mais comme je ne suis pas une
smart, tout ce bla-bla ne reposait que sur mon humble expérience !
Alors voilà que des vrais
smarts l'ont inscrit dans leur document : «
Comment bousiller son enfant après une séparation »
>
Faites-en le confident de vos gros sales problèmes d’adultes.Mozuss que ça me fait plaisirs de voir que comme
non-parent,
j'suis pas trop à côté de la
track !
Merci à
Tangerine de m'avoir
flagué ces
textes de La Presse d'aujourd'hui.
***
Un de ces textes est assez percutant. Je crois que c'est la première fois que je lis un texte qui parle autant de l'adulte significatif collaborateur en tant que quelque chose de positif pour l'enfant et qui décrit cette réalité avec autant de justesse.
«Mais rien n'est simple depuis la fin de la famille nucléaire typique! lance Julie Gosselin. Tout est à inventer. Je ne dis pas que c'est la solution idéale, mais quand un beau-parent a été une figure marquante et positive dans la vie d'un enfant, la séparation d'un couple est un deuil injuste pour l'un comme pour l'autre. Si la famille recomposée a le droit d'exister, la famille décomposée devrait avoir le droit d'exister aussi!»J'aime ça lire des affaires de même, parce que pour une fois, je sens que quelqu'un, quelque part a compris se qu'est d'être
juste la belle-mère ! Quelqu'un a compris qu'il est possible d'aimer pendant des années des enfants de tout coeur et ce, en sachant que si il y a rupture ou décès nous n'avons AUCUN droit. Nous devenons des étrangers pour ces enfants que nous avons aimé.
Trop peu de gens réalisent la chance que l'on prend !
( Remarquez que pour ma part, la séparation n'est pas une option.....Mais Sailor n'est pas immortel....Si il lui arrivait quelque chose, j'aurais 3 deuils à faire.....Personne n'y pense à ça ! Et je ne m'arrêtes pas à ça non-plus. Je parles seulement d'éventualité...et je suis persuadée que c'est déjà arrivé à d'autres )
Edit : 2 autres perles parmis ces textes de Mme Leduc :
«Toutes les belles-mères nous le disent : ce rôle-là, c'est le plus difficile de leur vie, poursuit Mme David. Ni mères ni belles-mères, elles n'ont aucun statut et n'ont pas le droit, par exemple - à moins d'une permission expresse des parents - d'aller chercher à l'école l'enfant malade dont elles s'occupent pourtant tellement par ailleurs.»
Mais ce que l'on voit le plus fréquemment, note Mme Gosselin, «c'est une mère qui continue d'avoir une emprise sur le foyer de son ex-conjoint, emprise qui va de l'influence à de la réelle ingérence.»
( Tiens, tiens, j'suis pas la seule à me plaindre de l'ingérence ça l'air ;-))))